Henry de Monfreid: Perbedaan antara revisi
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'''Henry de Monfreid''', lahir di [[La Franqui]], komune dari [[Leucate]] (Aude) pada [[14 November]], [[1879]], dan wafat pada [[13 Desember]], [[1974]] di [[Ingrandes (Indre)|Ingrandes]] (Indre), adalah seorang petualang dan penulis dari [[
== Biographie ==
Henry Monfreid<ref>L'orthographe de son prénom semble légèrement différer de celle rapportée dans son état civil
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Dans son enfance, il a bien connu le peintre [[Paul Gauguin]], ami intime de son père à partir de [[1887]]. Plus tard il se lie d'amitié avec le Père [[Pierre Teilhard de Chardin|Teilhard de Chardin]], rencontré en [[1926]] sur le [[paquebot]] ''Angkor'', lors d'une croisière entre Marseille et la Chine.
Il tira de ses aventures dans la [[mer Rouge]], les eaux littorales de la [[Corne de l'Afrique]] et le détroit de [[Bab-el-Mandeb]] ("''Porte des Pleurs''" en arabe) des romans et nouvelles captivants, où les observations maritimes et ethnologiques pertinentes et vécues voisinent avec les descriptions cyniques d'exploits de contrebande exercés au détriment de son pays d'origine (livraisons d'armes aux tribus dissidentes) - ou de la morale élémentaire (contrebande de [[hashish]] ou de [[morphine]] ).
Il part en [[1911]] à [[Djibouti]], alors possession française, faire le négoce du [[café]] et de peaux. Il construit lui-même ses [[boutre]]s, dont le plus célèbre, l'''Altaïr'', est gréé de [[Voile aurique|voiles auriques]], et fréquente les côtes de la mer Rouge. Sa connaissance des [[mouillage]]s et des [[Port (marine)|ports]] en fait une source de renseignements utile à la France pendant la [[Première Guerre mondiale]]. Il rejoindra plus tard l'organisation des [[Croix-de-feu]].
Il entame ensuite une vie de [[contrebandier]], se convertit à l'[[islam]] en 1914<ref name="PINS_1">[[Thibaut Pinsard]], [http://www.routard.com/mag_dossiers/id_dm/34/ordre/1.htm L'appel à une autre vie, Routard.com]</ref>, religion de son équipage, se fait circoncire, et prend le nom d''''Abd-el-Haï''' (''esclave du vivant''). Selon [[Guillaume de Monfreid]], sa ''« conversion était une conversion de circonstance »''. Il continue
Il vit de différents trafics, [[perle]]s, armes, [[haschisch]], et même [[morphine]] (qu'il achète en gros en Allemagne au laboratoire pharmaceutique qui produit la drogue, et qu'il revend aux riches Égyptiens...), ce qui lui vaut plusieurs séjours en prison. Monfreid s'est toujours défendu d'avoir pratiqué la [[traite des noirs]] entre l'Afrique et l'Arabie… Il se base à [[Obock]]
Monfreid fit la connaissance de [[Paul Vaillant-Couturier]], [[Joseph Kessel]], tous fascinés par sa personnalité. Kessel lui conseille d'écrire ses aventures. Ses romans remportent un franc succès dans les [[années 1930]]. Il est également correspondant de presse.
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Libéré, il vit de chasse et de pêche sur les pentes du [[Mont Kenya]], épisode qui lui inspirera d'autres romans comme ''Karembo''.
Il retourne en France en [[1947]] et s'installe dans une grande maison à [[Ingrandes]], dans l'[[Indre (département)|Indre]], où il peint, joue du piano, et surtout écrit. Les habitants de ce petit village de la « France profonde » resteront en plusieurs circonstances perplexes devant le mode de vie de Monfreid, patriarche sans complexes. Ainsi, étant un opiomane d'habitude régulières, il va à l'épicerie locale pour peser et diviser en doses journalières les têtes de pavots qu'il fait pousser dans son jardin. L'épicier n'y voyait pas matière à s'alarmer, d'autant que Monfreid était un bon client
À la mort de Monfreid, on se rendit compte que les tableaux de maîtres qu'il disait tenir de son père, et qu'il hypothéquait quand le revenu tiré de ses livres était insuffisant, {{refnec|
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* {{fr}} ''L'envers de l'aventure (Grasset, 10 volumes de 53 à [[1970]])
* {{fr}} ''Mon aventure à l’île des Forbans'' (Grasset, [[1958]])
* {{fr}} ''Le Radeau de la Méduse
* {{fr}} ''Les Lionnes d’or d’Éthiopie'' (Laffont, [[1964]])
* {{fr}} ''Le Feu de Saint-Elme'' (Laffont, [[1973]])
Baris 62 ⟶ 61:
* {{fr}} ''Lettres de la mer Rouge'' (Flammarion, [[2000]])
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; de Giséle de Monfreid, sa fille
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== Diskografi ==
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== Bibliografi ==
* [[Georges M.Poisson]], ''Henry de Monfreid, Le Passionné de l'aventure'', Paris, [[Médicis]], [[1966]]
* [[Daniel Grandclément]], ''l'Incroyable Henry de Monfreid'', Paris, [[Éditions Grasset|Grasset]], [[1990]]
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;Télévision
* « '''''Les secrets de la mer rouge''''' », réalisation [[Claude Guillemot]] et [[Pierre Lary]], 1968.
▲*Fiche technique :
▲** Scénario : Henry de Monfreid, Roland Laudenbach, Edmond Levy et Jean O'Neill.
** Interprétation
▲** Musique : [[François de Roubaix]].
▲** Interprétation : Pierre Massimi, Alex Lacaste, Miloud Khetib, Mustapha Chadli, Mostéfa Stiti, Hans Wyprächtiger, Baaron, Alphonse Beni, Jean-Claude Ballard, Christiane Krüger.
[[Fichier:Lettres.jpg|thumb|right|Les photos de Monfreid à l'âge mûr nous montrent un homme maigre, sec, tanné par le soleil et le vent, aux muscles apparents, aux pénétrants yeux clairs, debout sur le pont de son voilier, portant un gros turban croisé et un petit pagne...]]
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"Coup de cœur du Jury du Public" au [[Festival de Luchon]], 2006.
Lauriers de l'Audiovisuel, Prix Marcel Jullian de la "Première oeuvre".
Résumé
*Fiche technique
** Scénario
** Image
** Son
** Montage
** Musique
** Interprétation
** Production
** Coproduction ARTE France avec la participation de France 3
==Articles connexes==
* [[Mer Rouge]]
** [[Assab]]
** [[Île Moucha]]
** [[Archipel des Dahlak|Dahlak]]
** [[Djibouti]]
* [[Golfe d'Aden]]
Baris 114:
== Pranala luar ==
* [http://www.henrydemonfreid.com Situs resminya]
== Rujukan ==
{{reflist}}
{{bio-stub}}▼
[[Kategori:Kelahiran 1879]]
[[Kategori:Kematian 1974]]
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