Henry de Monfreid: Perbedaan antara revisi

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== Biographie ==
Henry Monfreid<ref>L'orthographe de son prénom semble légèrement différer de celle rapportée dans son état civil : « y » au lieu de « i ». La [[Bibliothèque nationale de France]] rapporte les deux orthographes en renvoyant tout vers la graphie « Henry de Monfreid », qualifiée de ''forme savante à valeur internationale''.</ref> adalah putra dari George Daniel Monfried, pelukis, dan kolektor benda-benda seni dengan "Amélie" (''Marie-Émilie'' Bertrand). Pada tahun [[1913]] ia menikah dengan seorang warga negara [[Jerman]], Armgart Freudenfeld, dan pernikahannya, mereka mendapatkan tiga orang anak. Istrinya banyak memberikan pengarug kepada pekerjaannya sebagai seorang penulis.
 
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Baris 13:
Il part en [[1911]] à [[Djibouti]], alors possession française, faire le négoce du [[café]] et de peaux. Il construit lui-même ses [[boutre]]s, dont le plus célèbre, l'''Altaïr'', est gréé de [[Voile aurique|voiles auriques]], et fréquente les côtes de la mer Rouge. Sa connaissance des [[mouillage]]s et des [[Port (marine)|ports]] en fait une source de renseignements utile à la France pendant la [[Première Guerre mondiale]]. Il rejoindra plus tard l'organisation des [[Croix-de-feu]].
 
Il entame ensuite une vie de [[contrebandier]], se convertit à l'[[islam]] en 1914<ref name="PINS_1">[[Thibaut Pinsard]], [http://www.routard.com/mag_dossiers/id_dm/34/ordre/1.htm L'appel à une autre vie, Routard.com]</ref>, religion de son équipage, se fait circoncire, et prend le nom d''''Abd-el-Haï''' (''esclave du vivant''). Selon [[Guillaume de Monfreid]], sa ''« conversion était une conversion de circonstance »''. Il continue : ''« je ne crois pas qu'il fût plus attaché à un rite qu'à un autre, parce que de toute façon, ce n'était pas un homme pour qui le spirituel avait beaucoup d'importance. Il était trop noyé dans l'action. Et puis, ayant découvert la vraie liberté, il ne veut plus de carcan<ref name="PINS_1"/> »''.
 
Il vit de différents trafics, [[perle]]s, armes, [[haschisch]], et même [[morphine]] (qu'il achète en gros en Allemagne au laboratoire pharmaceutique qui produit la drogue, et qu'il revend aux riches Égyptiens...), ce qui lui vaut plusieurs séjours en prison. Monfreid s'est toujours défendu d'avoir pratiqué la [[traite des noirs]] entre l'Afrique et l'Arabie… Il se base à [[Obock]] : sa maison est prés du rivage, ce qui permet à sa femme de disposer des lumières sur la terrasse si la vedette des gardes-côtes est à l'affut... Puis, il se fixe en [[Éthiopie]] : il a fait assez de bénéfices pour acheter une [[minoterie]] et construire une centrale électrique dans sa ville de résidence.
 
Monfreid fit la connaissance de [[Paul Vaillant-Couturier]], [[Joseph Kessel]], tous fascinés par sa personnalité. Kessel lui conseille d'écrire ses aventures. Ses romans remportent un franc succès dans les [[années 1930]]. Il est également correspondant de presse.
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Libéré, il vit de chasse et de pêche sur les pentes du [[Mont Kenya]], épisode qui lui inspirera d'autres romans comme ''Karembo''.
 
Il retourne en France en [[1947]] et s'installe dans une grande maison à [[Ingrandes]], dans l'[[Indre (département)|Indre]], où il peint, joue du piano, et surtout écrit. Les habitants de ce petit village de la « France profonde » resteront en plusieurs circonstances perplexes devant le mode de vie de Monfreid, patriarche sans complexes. Ainsi, étant un opiomane d'habitude régulières, il va à l'épicerie locale pour peser et diviser en doses journalières les têtes de pavots qu'il fait pousser dans son jardin. L'épicier n'y voyait pas matière à s'alarmer, d'autant que Monfreid était un bon client : il achetait de grosses quantités de miel, qui lui permettaient de combattre la constipation opiniâtre entrainée par l'usage quotidien de l'opium. Quelqu'un s'avisa cependant un jour de dénoncer Monfreid à la gendarmerie...{{Référence nécessaire||date=mars 2010}} L'affaire fut abandonnée, l'opium n'étant à l'époque utilisé que par des artistes non-conventionnels (comme son ami [[Jean Cocteau]]) - et par ailleurs Monfreid se flatte à plusieurs reprises dans son œuvre de savoir à merveille décourager et amadouer les officiels trop curieux, par la flatterie, le mimétisme, et l'étalage d'une apparente bonne foi.
 
À la mort de Monfreid, on se rendit compte que les tableaux de maîtres qu'il disait tenir de son père, et qu'il hypothéquait quand le revenu tiré de ses livres était insuffisant, {{refnec|étaient des faux, peut-être peints par lui-même...}}
Baris 55:
* {{fr}} ''L'envers de l'aventure (Grasset, 10 volumes de 53 à [[1970]])
* {{fr}} ''Mon aventure à l’île des Forbans'' (Grasset, [[1958]])
* {{fr}} ''Le Radeau de la Méduse : comment fut sauvé Djibouti'', (Grasset, [[1958]])
* {{fr}} ''Les Lionnes d’or d’Éthiopie'' (Laffont, [[1964]])
* {{fr}} ''Le Feu de Saint-Elme'' (Laffont, [[1973]])
Baris 62:
* {{fr}} ''Lettres de la mer Rouge'' (Flammarion, [[2000]])
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; de Giséle de Monfreid, sa fille : "''Mes secrets de la Mer Rouge''", 1982, Éditions France-Empire . Ce livre apporte un intéressant éclairage latéral sur la vie - et sur l'œuvre de Monfreid, imposant reflet d'une personnalité manifestement narcissique, dédiée à l'action, avec qui la cohabitation ne dut pas être facile.
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== Diskografi ==
Baris 82:
* « '''''Les secrets de la mer rouge''''' », réalisation [[Claude Guillemot]] et [[Pierre Lary]], 1968.
 
*Fiche technique :
** Scénario : Henry de Monfreid, Roland Laudenbach, Edmond Levy et Jean O'Neill.
** Musique : [[François de Roubaix]].
** Interprétation : Pierre Massimi, Alex Lacaste, Miloud Khetib, Mustapha Chadli, Mostéfa Stiti, Hans Wyprächtiger, Baaron, Alphonse Beni, Jean-Claude Ballard, Christiane Krüger.
[[Fichier:Lettres.jpg|thumb|right|Les photos de Monfreid à l'âge mûr nous montrent un homme maigre, sec, tanné par le soleil et le vent, aux muscles apparents, aux pénétrants yeux clairs, debout sur le pont de son voilier, portant un gros turban croisé et un petit pagne...]]
 
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"Coup de cœur du Jury du Public" au [[Festival de Luchon]], 2006.
Lauriers de l'Audiovisuel, Prix Marcel Jullian de la "Première oeuvre".
Résumé : Dans le château de George Daniel de Monfreid, au début du XXe siècle, le fils Henry, gravement malade, qui s'est vu au seuil de la mort, décide de rompre avec son existence petite-bourgeoise et rangée. Il confie ses deux enfants à une jeune Allemande proche de la famille et part le plus loin possible : à Djibouti. Il s'y livre au commerce de peaux, d'armes, de café, ce qui, dans ces contrées frontalières, se confond souvent avec trafic et contrebande. Il entame alors une correspondance régulière et aussi détaillée qu'un journal de bord, avec son père et son amie allemande et future épouse, Armgart Freudenfeld. Ce sont les ''Lettres de la mer Rouge''.
 
*Fiche technique
** Scénario : Gilles Taurand, d'après Henry de Monfreid
** Image : Christophe Paturange
** Son : Erik Ménard
** Montage : Gérard Parisot
** Musique : Nathaniel Mechaly
** Interprétation : Arnaud Giovaninetti, Kalassahun Bekele, [[Élodie Navarre]], [[Didier Pain]], [[Bernard Blancan]]
** Production : Pierre Javaux Productions
** Coproduction ARTE France avec la participation de France 3
 
Baris 106:
 
* [[Mer Rouge]]
** [[Assab]] : chapitre II des secrets de la mer Rouge
** [[Île Moucha]]
** [[Archipel des Dahlak|Dahlak]] : l'ile des perles, titre du chapitre IV des secrets de la mer Rouge
** [[Djibouti]]
* [[Golfe d'Aden]]